Chapitre 2, la suite du compte.
Sebastian, voyant son ver vide arrêta
son récits au grand désarroi du petit. Il ce leva et fit un constat
qui le troubla pour un moment. La mélancolie l'avait amener dans
l'ivrognerie.
« Mais qu'est-ce que je suis en train
de devenir, se disait-il. Je vais me mettre au thé... »
La perspective de ce voir devenir un
héros déchue face à ce gamin lui avait ouvert les yeux un moment.
Il avait déjà passer une semaine dans cette auberge au remord d'une
vie perdu. Il n'avait plus foie en lui, mais le regard fasciné de
cette enfants lui remplissait ce vide au cœur.
« Je dois me ressaisir, ce disait-il.
»
Il passa commande d'une boisson chaude
au tavernier et revins vers le gamin.et cette fois-ci il s’assit au
sol avec le petit et lui demanda :
« Alors, près à entendre la suite? »
Seconde histoire, l'attaque :
...Aux
premières Lueurs du matin, Rowen et moi sommes aller au pied de
l'arbre ou j'ai trouver la belle pour y trouver les trace non
seulement du bétails, mais aussi de quelques personnes dont celle de
la dames qui m'avait embarrasser la veille. Ces bottes étrange avait
laisser des trace bien distinctive sur le sol, mais rien qui ne
laisserais voire une destination précise. En fait, nous étions
perplexe car elle semblait avoir fait de nombreux allé et retour sur
les lieux et ce, dans de nombreuse direction.
Mon cher amis Rowen proposa de se
séparer pour chercher des indices. Il alla vers la rivières tendis
que je me dirigea vers les boisées de l'autre côté des plaines. Ce
matin, les chemins et champs étais tout particulièrement
silencieux. Ni le chant des oiseaux, ni les soubresauts des enfants
se faisait entendre. De plus, les quelques maraudeurs que je croisa
étaient plutôt craintif. L'on me disait qu'il y avait dans ces bois
une armée de créature sauvages marchait vers la cité. Ma curiosité
de nature me porta dans les profondeurs de la forêts. Les arbres
couvert de mousse me semblait bleuté d'une fumée irritante, les
dires de ces malheureux me semblait de plus en plus vrai. J’avançai
discrètement, arc en main, près à débusquer tout intrus qui
m'attaquerais.
Je me positionna au côté d'un grand
chêne dont le feuillage couvrait le ciel, ne laissant passer que des
filets de lumière bariolant la fumée de plus en plus dense.
L'espace d'un instant, cette dernière s'estompa et je vis une
créature tout de noir vêtus avançant sur un sentier non loin. Je
voulus me pencher pour l'observer, mais cette créature à peine plus
grande que toi me surpris et il n'en fallut pas plus pour que cette
chose cria d'un dialecte, alertant ces comparse qui le suivait. Ce
dernier, très agile défléchi deux de mes flèches avec une épée.
Je compris que si je voulais les pourfendre, il me faudra user
d'adresse et de ruse. J'entrepris donc une course au travers des
feuillage, les contournant et décocha ma troisième flèches,
atteignant en plaine tête l'un d'entre eux. Bien leur petite taille,
ces damné créatures étaient plutôt rapide et bien armée. Je
stoppa mes attaques après été pris en tenailles entre un
arbalétrier qui me manqua de peur, le carreau qui envoya vers ma
tête fut dévier de peut par une branche, touchant son allié
derrière moi. Si ce n'est pas avoir de la chance, je ne sait pas ce
que c'est...
J'entrepris une course effrénée pour
les distancer sans grand succès. Je me retrouva dans une clairière
entourer par ces malappris dans ce que je crois était l'un des
charniers de la grande guerre de la première Merrya. Le sol étais
joncher de branchage et de vieil briques qui me servit à terrasser
les premiers à m'attaquer. Ces pierres était solide et bien qu'ils
bloquaient ces morceau, je voyait bien la douleur dans leur
gestuelles. Le premier fit mis chaos d'une pierre lancé en plaine
tronche, le second fit retraite sous l'avalanche de briques que je
lui servit et un dernier tenta de me prendre de coure, mais il goutta
d'un coup à la mâchoire avant de s'écrouler. Les autres prirent la
fuite sans que je ne sache trop pourquoi, c'est seulement après un
moment aux augets que je me rendit compte qu'un grand loup solitaire
m'observait.
Tout en me méfiant, je quitta la
forêts, sachant très bien que l'on me suivait. Je parvins à
retrouver mon chemin hors du boisé et suivit la rivière ou j'y
retrouva mon cher Amis qui pêchait, tout penaud d'être pris dans sa
lassitude. Sur le coup, je n'en fis aucun cas car les mots me
pressait :
«Rowen! Rembarque ta ligne, nous avons
des ennuies...»
De tout évidence, Il était crédule
quand je dit ces mots, mais la fumée dans la forêts derrière moi
lui fit comprendre que les problèmes arrivèrent. Son visage valait
mille mots... autans j'en étais morts de rire, autans j'avais peur
de me retourner pour voir ce qui n'allais pas. Nous avons couru au
plus vite que nos jambes nous le permettais vers la citée fortifier.
Par comble de malheur, les gardes sur place avait fermer les portes
et refusait de les ouvrir pour quelques inconnus à la veille d'une
bataille, surtout que les fermiers étaient déjà entrer il y as
fort lurette.
Tendis que Rowen maudissait les gardes,
je pouvais voir le bataillons arriver à l’aurions. Je dois dire
que je frémissait de devoir combattre au première lignes, seul avec
mon amis Rowen le bagarreur quelques maraudeurs pris dans le même
pétrin que nous et toujours ce loup qui me suivait depuis la
clairière dans la forêts. Mes sens étais aux aguets, mois comme
certain autres avons débusquer trois éclaireurs de cette légion
inconnus et de ce fait, il me restais que deux flèches.
Je croyait que ce saurais la fin,
voyant l’ennemie à porté de tire, mais je me suis souvenus de ce
que pouvait faire le cristal. Je le pris donc entre mes mains et
aussitôt, je sentis son énergie me remplir le poitrail. Je me plaça
telle que je le ferais avec mon arc et il apparue encore une fois.
Cette arme mystique de lumière et d'énergie fit une onde de choc au
sol, m'entourent d'un halos de lumière. Je saisi la corde et
aussitôt une flèche enflammer y apparaissait. Face à cette
surprise, je la relâchait presque aussitôt et elle partis comme un
éclair vers l’ennemie, laissant une nuée de faux à l'impacte. Je
ressaisie donc ma chance et pointa vers le ciel. Je regardais la
trace de fumée noir qu'elle laissait en me disent que si je le
pouvait, j'en tirerais cents comme celle là. Sur cette pesée, je la
vie se décupler dans le ciel avant de retomber sur cette légion,
laissant qu'un mur de flammes une fois au sol. A moi seul, j'avais
mis l’ennemie en déroute, galvanisant par le même fait mes
compagnons d'arme du moment qui partis à leur poursuite.
Rowen me saisi pas l'épaule et
n’emmena dans les buisson, me disent :
« Pauvre fou, si l'on de voie à faire
de la magie, il saisirons tes biens et ils t'enfermerons pour ne pas
suivre la prohibition. »
J'avais beau expliquer à mon amis que
je n'étais pas sorcier, que je fit cela par instinct, il ne
dérageait pas. C’était beau à voir... Mais bon, pour le reste,
l'on reprendra demain soir si tu veut. Retourne chez toi petit homme,
il se fait tard.

